lundi 20 juin 2011

Pour Jean-Claude Trichet, il n’y a pas plus de différence entre la Grèce et l’Allemagne qu’entre le Michigan et le New Jersey

Les europhobes trépignent de joie devant la crise grecque qui leur donne raison, du moins le pensent-ils : les chocs asymétriques qu’a subis la zone euro démontreraient que des pays aussi économiquement hétérogènes ne peuvent pas vivre avec la même monnaie.
C’est le fameux argument, mal compris au demeurant, de la zone monétaire optimale que la zone euro ne serait pas à la différence des États-Unis, contre-exemple habituel.
Bookmark and Share

0 commentaires:

Enregistrer un commentaire