Le nouveau plan d'aide proposé à Athènes vise avant tout à sauver les banques étrangères, et non le peuple grec, affirme un professeur d'économie à l'Ecole des études orientales et africaines de l'université de Londres (...)
Le pays s'en sortirait probablement mieux en faisant défaut sur sa dette, puis en abandonnant la monnaie unique.Lire dans courrierinternational.com
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