Les europhobes trépignent de joie devant la crise grecque qui leur donne raison, du moins le pensent-ils : les chocs asymétriques qu’a subis la zone euro démontreraient que des pays aussi économiquement hétérogènes ne peuvent pas vivre avec la même monnaie.
C’est le fameux argument, mal compris au demeurant, de la zone monétaire optimale que la zone euro ne serait pas à la différence des États-Unis, contre-exemple habituel.
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