En mars 2000, lors du Conseil européen de Lisbonne, les États membres de l’Union européenne avaient fixé l’objectif de faire de l’Europe "l'économie de la connaissance la plus compétitive et la plus dynamique du monde d'ici à 2010". Onze ans plus tard, force est de constater que l’Europe a raté le virage de l’économie de la connaissance.
L’économie de la connaissance se définit comme une phase de l’histoire économique par laquelle se généraliserait "un modèle productif particulier organisé autour des complémentarités organisationnelles et technologiques entre les TIC, le capital humain des agents susceptibles d’utiliser ces technologies et une organisation réactive de la firme qui permettraient la pleine utilisation du potentiel de productivité des deux premiers éléments". L’économie de la connaissance produirait donc de l’information échangeable sur un marché. Autrement dit, on assisterait à la séparation des activités classiques de production et des activités nouvelles d’innovations.Lire dans lecercle.lesechos.fr
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