Si Sarkozy était moins imprévisible, Merkel moins sujette à la panique, Zapatero plus convaincant et si Berlusconi faisait moins le pitre, l'Europe serait moins handicapée. » Pour « Charlemagne », la chronique sur l'Europe de « The Economist », la faiblesse de l'Union européenne tient à ses dirigeants nationaux.
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