
Mardi, le Haut conseil électoral a annoncé l'éviction de douze candidats, dont sept kurdes aux législatives de juin. Faut-il y voir un signe de la dégradation du système démocratique turc ?
La démocratie affaiblie
Parmi les concernés, Layla Zana, titulaire du Prix Sakharov du Parlement européen en 1994. Elle a déjà été emprisonnée pendant dix ans pour avoir parlé kurde au Parlement et pour "collusion" avec le PKK, parti nationaliste kurde considéré comme organisation terroriste. Les autres candidats exclus l'ont également été en raison de leurs antécédents judiciaires.Lire tout l'article dans touteleurope.eu
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