[Le Monde]
Ce devait être le point d'orgue international de la présidence Sarkozy. L'actualité internationale en a décidé autrement. La crise grecque a monopolisé, vendredi 4 septembre pour le deuxième jour consécutif, l'attention des pays du G20, et quelque peu minimisé la portée de l'accord conclu à l'arraché en Europe la semaine précédente.
Mais a contrario, elle évite aussi de trop porter le regard sur un sommet plutôt décevant, au terme duquel la France n'a pas atteint les objectifs initiaux qu'elle s'était fixée.
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