Depuis le début de la crise de la zone euro, en janvier 2010, les États de l’Union européenne naviguent à vue, réagissant aux évènements sans jamais les devancer, accroissant ainsi le sentiment de panique des citoyens et des marchés.
Seul le président de la Banque centrale européenne (BCE), l’une des deux institutions fédérales de l’Union avec la Cour de justice européenne, semble ne pas manier la godille : sans lui, on se demande où en serait aujourd’hui l’euro.
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