Le président de la Banque centrale européenne (BCE) a répété qu'une "décision claire et rapide était nécessaire" au sujet de la recapitalisation des banques les plus exposées : tout retard "ne fait que contribuer à l'aggravation de la situation". L'avertissement est resté sans effet sur la Slovaquie, dont le Parlement a refusé un peu plus tard de ratifier la refonte du Fonds européen de stabilité financière (FESF), tout en promettant un second vote dans les prochains jours.
Il s'adresse avant tout aux dirigeants européens alors que les tractations en vue d'éviter une catastrophe bancaire s'intensifient, après la réunion infructueuse à Berlin entre Nicolas Sarkozy et Angela Merkel, dimanche. "Plusieurs questions vont devoir être tranchées au niveau politique lors du sommet de la zone euro le 23 octobre", reconnaît un expert.Lire : lemonde.fr
0 commentaires:
Enregistrer un commentaire