Nicolas Sarkozy et Angela Merkel veulent arriver avec des solutions clé en main pour le G20 début novembre. Les dirigeants s'orientent vers une recapitalisation des banques et une modification des Traités, mais sont restés vagues sur le contenu.
« La France et l'Allemagne ont sur l'ensemble des sujets des positions parfaitement communes ». La convergence de vues à laquelle Nicolas Sarkozy veut faire croire n’a pourtant pas débouché sur un plan d’action précis. A l’issue des discussions, qui se sont tenues le 9 octobre, le président français et la chancelière Angela Merkel se sont dits prêts à apporter les solutions nécessaires d’ici le G20 des 3 et 4 novembre pour endiguer la crise qui frappe la zone euro. Parmi les pistes évoquées figurent la recapitalisation des banques et la modification des Traités.
Le 21 juillet, les 27 s’étaient mis d’accord sur un plan de 109 milliards d’euros d’aide à la Grèce, auquel s’ajoute la participation des créanciers privés à hauteur de 50 milliards d’euros environ. Trois mois plus tard, le fonds européen de stabilité financière (FESF) n’a pas encore acquis ses nouvelles compétences pour racheter de la dette sur le marché secondaire et l’intensité de l’aide apportée à la Grèce serait insuffisante. Avant de toucher au contenu de l’accord, Paris et Berlin préfèrent attendre le rapport que la troïka (BCE, FMI et UE) doit remettre prochainement sur la situation économique de la Grèce.Lire : euractiv.fr
Imprécisions franco-allemandes sur les nouvelles mesures pour la zone euro Nicolas Sarkozy et Angela Merkel veulent arriver avec des solutions clé en main pour le G20 début novembre. Les dirigeants s'orientent vers une recapitalisation des banques et une modification des Traités, mais sont restés vagues sur le contenu. 10/10/2011 Angela Merkel, Nicolas Sarkozy, fonds européen de stabilité financière, recapitalisation Partager Tweeter LinkedIn Imprimer Envoyer par email Documents officiels Présidence de la République française - Elysée Rencontre entre Nicolas Sarkozy et Angela Merkel (vidéo de la conférence de presse) « La France et l'Allemagne ont sur l'ensemble des sujets des positions parfaitement communes ». La convergence de vues à laquelle Nicolas Sarkozy veut faire croire n’a pourtant pas débouché sur un plan d’action précis. A l’issue des discussions, qui se sont tenues le 9 octobre, le président français et la chancelière Angela Merkel se sont dits prêts à apporter les solutions nécessaires d’ici le G20 des 3 et 4 novembre pour endiguer la crise qui frappe la zone euro. Parmi les pistes évoquées figurent la recapitalisation des banques et la modification des Traités. Le 21 juillet, les 27 s’étaient mis d’accord sur un plan de 109 milliards d’euros d’aide à la Grèce, auquel s’ajoute la participation des créanciers privés à hauteur de 50 milliards d’euros environ. Trois mois plus tard, le fonds européen de stabilité financière (FESF) n’a pas encore acquis ses nouvelles compétences pour racheter de la dette sur le marché secondaire et l’intensité de l’aide apportée à la Grèce serait insuffisante. Avant de toucher au contenu de l’accord, Paris et Berlin préfèrent attendre le rapport que la troïka (BCE, FMI et UE) doit remettre prochainement sur la situation économique de la Grèce.
A lire aussi: http://www.euractiv.fr/imprecisions-franco-allemandes-nouvelles-mesures-zone-euro-article
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