Infographie : François Descheemaekere |
Alain Malegarie, directeur général de l'Institut de l'euro de 1995 à 2005.
En ce début d’année, la quasi-totalité des télés, radios et journaux ont parlé de l’Europe, une fois n’est pas coutume, en saluant l’anniversaire de la plus importante création européenne : je veux parler bien sûr de l’EURO, qui fut créé en 1999, mais dont la monnaie fiduciaire (les pièces et billets) ne furent introduits que le 1er janvier 2002, il y a dix ans. Et, comme il se doit pour l’anniversaire d’un événement, chacun y est allé de son bilan. Alors, les commentaires sont allés bon train, sur les plus et les moins de l’euro, ses apports et ses faiblesses, sa capacité à nous protéger.
Ce premier bilan de l’euro est, je le dis objectivement, très largement positif, si l’on veut bien analyser toutes ses conséquences, et les objectifs atteints. Car la création de la monnaie unique européenne avait, prioritairement, deux objectifs : un objectif économique et un objectif politique.
Lire : euroblog-alainmalegarie.eu
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