Une Allemagne moins européenne dans une Europe plus allemande

Infographie : François Descheemaekere

[Euractiv]

Le sommet européen de cette semaine a de nouveau prouvé que l’austérité restait la seule réponse de Berlin face à la crise. Les Allemands ignorent donc les questions sociales, la vague d’euroscepticisme grandissante et le sentiment anti-allemand qui se répand parmi la population, écrit Susanne Gratius, du groupe de réflexion madrilène FRIDE.

Susanne Gratius est une chercheuse senior au FRIDE, un groupe de réflexion madrilène spécialisé dans l’analyse des relations internationales. Elle a envoyé ce commentaire en exclusivité à EurActiv.

Another summit in Brussels has done little to change the new overarching EU crisis landscape. Germany has gone from paymaster to master of discipline. All but two European countries (the Czech Republic and the UK) agreed on the so-called fiscal compact based on a maximum of 0.5% public deficit and 60% debt/GDP ratio.
The proposal to withdraw Greece’s fiscal sovereignty and the new treaty’s sanction mechanism illustrate that austerity continues to be Berlin’s only response to the crisis.
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